Ca c’est fait... Bon y’en a encore qui doutent de notre équipe tricolore ??? Je crois qu’il n’y a rien a dire d’autre de plus que MERCI LES BLEUS.
Merci de continuer à nous faire vibrer. Que dire de ce match sinon qu’il est presque parfait ? Un Zizou étincelant comme jamais, une défense de folie qui a littéralement verrouillé les attaques brésiliennes et un collectif qui méritait de gagner. La retraite de notre n°10 national n’est pas pour tout de suite et ce but à la 57ème de Titou est de toute beauté. Ahh, ce France-Allemagne, je l’attends depuis un mois désormais et ça va être énorme. Certes il faudra battre une équipe portugaise qui peut poser des problèmes, mais ne parlons pas de malheur.
Merci de continuer à nous faire vibrer. Que dire de ce match sinon qu’il est presque parfait ? Un Zizou étincelant comme jamais, une défense de folie qui a littéralement verrouillé les attaques brésiliennes et un collectif qui méritait de gagner. La retraite de notre n°10 national n’est pas pour tout de suite et ce but à la 57ème de Titou est de toute beauté. Ahh, ce France-Allemagne, je l’attends depuis un mois désormais et ça va être énorme. Certes il faudra battre une équipe portugaise qui peut poser des problèmes, mais ne parlons pas de malheur.
Et Thierry propulsa un peuple au pays des merveilles...
La complicité retrouvée; les deux héros de la soirée, sans aucun doute.
Fêtez ca, vous le meritez, encore bravo, je crois que c'est tout ce qu'il y a à dire.
Après avoir mûrement réfléchi à certaines choses ce week-end, une conclusion me paraît évidente: la France et les français auront encore une fois prouvé leur bêtise au cours de ce mondial (attention pas d’amalgame, je parle d’une majorité). Il y a 15 jours l’équipe de France n’était plus qu’un ramassis de papis jouant a foot plus que moyennement et étaient critiqués violemment par tout le monde. Aujourd’hui ils sont des héros nationaux. D’ou vient cette tendance française à la critique facile et surtout après à la résurrection du nationalisme une fois que l’on a gagné ? Je pense ne jamais avoir douté de l’équipe de France; j’ai été inquiet certes, mais juste après ce match face à la Corée que nous aurions du gagner. J’ai été en revanche terriblement déçu d’entendre mes potes répéter que la France était nulle et que nous n’avions aucune chance et encore plus de les entendre 10 jours plus tard ne plus tarir d’éloges sur ce même groupe. Alors mes biens chers compatriotes, je ne souhaite faire passer qu’un message ici: arrêtez de dénigrer notre équipe avant qu’elle n’aie perdue, soutenez la au lieu de l’enterrer… Les plus crétins restent tous les journalistes qui, après avoir écrit que l’équipe de France était au bord du naufrage, se mettent désormais à complimenter la bande à Zizou.
Outre-Rhin l’ambiance autour de notre chère équipe nationale a, elle aussi, sensiblement changé. Nous sommes passés du foutage de gueule au respect le plus total. Nous prendrons notre revanche quand les bleus auront mangé les portugais au déjeuner et la Mannschaft au dîner. La vengeance est un plat qui se mange froid, nous allons les bouffer tout cru niark niark niark. J’en connais certains qui ne vont plus me parler au boulot. Dernière chose notable relative à la presse, les anglo-saxons sont les plus ridicules. Ils faisaient avant le début du mondial de virulentes critiques à l’égard des bleus, et désormais pourtant peu enclins à la francophilie, les médias anglais ont rivalisé de métaphores et de superlatifs pour décrire la prestation de Zidane face au Brésil. A la suite de notre performance de samedi les titres sonnent comme suit: «Zidane le magicien dégaine un as» pour le Daily Mail. Pour le Daily Express, Zidane c'est «la classe à l'état pur... le maître français qui a maintenant l'occasion d'égaler Pelé, la légende brésilienne, et de briguer le titre non officiel de meilleur joueur de tous les temps», rien que ça. Le Times estime que Zidane était dans une «quatrième dimension» face au Brésil et qu'il est au pied «des dernières petites marches qui lui restent à gravir pour atteindre l'immortalité». Même le quotidien financier Financial Times n'a pas manqué d'encenser le meneur de jeu des Bleus n'hésitant pas à le comparer à «un chaton s'amusant à jongler avec une pelote de laine». Une belle métaphore, qui n'est pas prête de filer.
A noter néanmoins les excuses du quotidien espagnol Marca qui voulait «mettre Zidane à la retraite». Un peu de remise en question, ça ne fait pas de mal. Selon le journaliste, si Zidane a retrouvé un tel niveau, c’est que l’environnement de l’équipe de France y était propice, contrairement au climat délétère du Real Madrid. Et il conclut avec humilité : «Chapeau (en français dans le texte), Monsieur Zidane, il ne me reste plus qu’à reconnaître que j’ai moi aussi pensé qu’il était finit et que je me suis planté». Au moins c’est classe et il reconnaît ses erreurs, merci Monsieur.
Sinon, attention donc cependant à cette équipe portugaise qui, bien qu’affaiblie (Deco et Costinha seront suspendus), nous donnera du fil à retordre je le sens. Maintenant que la tempête est passée, il ne faudrait pas négliger l’orage derrière. Partir avec une position de favori n’est pas forcément la chose la plus facile, mais je n’en doute pas nos bleus vont rester concentrés. Zidane va pouvoir dire au revoir à son pote Figo comme il a fait avec les espagnols et nous offrir une la plus belle des finales de Coupe du Monde que je pouvais espérer étant donné mon lieu de résidence depuis 3 mois et demi. Enfin, il faudra faire attention aux cartons jaunes car six joueurs français, dont cinq titulaires probables, sont menacés d'une suspension pour la finale s'ils reçoivent un nouveau carton jaune : Willy Sagnol, Lilian Thuram, Louis Saha, Patrick Vieira, Franck Ribéry et Zinédine Zidane. Le danger sera accru par la réputation des adversaires portugais (si ils nous plombent le match cela serait anti-sportif et vraiment dégueu) et l'activité de l'arbitre Jorge Larrionda depuis le début du tournoi (Italie - Etats-Unis, trois cartons rouges, dont deux directs, par exemple).
Voilà pour le mondial, wait and see, mais ça va être tout vu. Juste pour en terminer, je trouve par contre que Domenech est toujours le même gland et qu’il faudra quand même le changer à la fin du tournoi malgré ses perfs. Désolé Raymond mais une équipe c’est un peu comme une mongolfière, si on veut que ça monte, il faut lâcher du lest…
D’un point de vue plus perso, le match à Düsseldorf avec Laetitia et d'autres francais rencontrés en chemin était super cool comme toujours et la soirée fut bien alcoolisée à souhait. Merci encore pour l’hébergement encore un fois Laeti. Vu comme c’est de pire en pire pour l'état d'ébriété avancé dans lequel nous nous retrouvons après les matchs je ne sais pas comment je vais finir quand nous serons champions du monde mais ça risque de pas être triste. Talal, demain le match on se voie et on se loupe pas comme ce week-end !! Voici trois photos qui en disent long sur notre état d'esprit et notre nationalisme plus que débordant à l'approche du match.
Outre-Rhin l’ambiance autour de notre chère équipe nationale a, elle aussi, sensiblement changé. Nous sommes passés du foutage de gueule au respect le plus total. Nous prendrons notre revanche quand les bleus auront mangé les portugais au déjeuner et la Mannschaft au dîner. La vengeance est un plat qui se mange froid, nous allons les bouffer tout cru niark niark niark. J’en connais certains qui ne vont plus me parler au boulot. Dernière chose notable relative à la presse, les anglo-saxons sont les plus ridicules. Ils faisaient avant le début du mondial de virulentes critiques à l’égard des bleus, et désormais pourtant peu enclins à la francophilie, les médias anglais ont rivalisé de métaphores et de superlatifs pour décrire la prestation de Zidane face au Brésil. A la suite de notre performance de samedi les titres sonnent comme suit: «Zidane le magicien dégaine un as» pour le Daily Mail. Pour le Daily Express, Zidane c'est «la classe à l'état pur... le maître français qui a maintenant l'occasion d'égaler Pelé, la légende brésilienne, et de briguer le titre non officiel de meilleur joueur de tous les temps», rien que ça. Le Times estime que Zidane était dans une «quatrième dimension» face au Brésil et qu'il est au pied «des dernières petites marches qui lui restent à gravir pour atteindre l'immortalité». Même le quotidien financier Financial Times n'a pas manqué d'encenser le meneur de jeu des Bleus n'hésitant pas à le comparer à «un chaton s'amusant à jongler avec une pelote de laine». Une belle métaphore, qui n'est pas prête de filer.
A noter néanmoins les excuses du quotidien espagnol Marca qui voulait «mettre Zidane à la retraite». Un peu de remise en question, ça ne fait pas de mal. Selon le journaliste, si Zidane a retrouvé un tel niveau, c’est que l’environnement de l’équipe de France y était propice, contrairement au climat délétère du Real Madrid. Et il conclut avec humilité : «Chapeau (en français dans le texte), Monsieur Zidane, il ne me reste plus qu’à reconnaître que j’ai moi aussi pensé qu’il était finit et que je me suis planté». Au moins c’est classe et il reconnaît ses erreurs, merci Monsieur.
Sinon, attention donc cependant à cette équipe portugaise qui, bien qu’affaiblie (Deco et Costinha seront suspendus), nous donnera du fil à retordre je le sens. Maintenant que la tempête est passée, il ne faudrait pas négliger l’orage derrière. Partir avec une position de favori n’est pas forcément la chose la plus facile, mais je n’en doute pas nos bleus vont rester concentrés. Zidane va pouvoir dire au revoir à son pote Figo comme il a fait avec les espagnols et nous offrir une la plus belle des finales de Coupe du Monde que je pouvais espérer étant donné mon lieu de résidence depuis 3 mois et demi. Enfin, il faudra faire attention aux cartons jaunes car six joueurs français, dont cinq titulaires probables, sont menacés d'une suspension pour la finale s'ils reçoivent un nouveau carton jaune : Willy Sagnol, Lilian Thuram, Louis Saha, Patrick Vieira, Franck Ribéry et Zinédine Zidane. Le danger sera accru par la réputation des adversaires portugais (si ils nous plombent le match cela serait anti-sportif et vraiment dégueu) et l'activité de l'arbitre Jorge Larrionda depuis le début du tournoi (Italie - Etats-Unis, trois cartons rouges, dont deux directs, par exemple).
Voilà pour le mondial, wait and see, mais ça va être tout vu. Juste pour en terminer, je trouve par contre que Domenech est toujours le même gland et qu’il faudra quand même le changer à la fin du tournoi malgré ses perfs. Désolé Raymond mais une équipe c’est un peu comme une mongolfière, si on veut que ça monte, il faut lâcher du lest…
D’un point de vue plus perso, le match à Düsseldorf avec Laetitia et d'autres francais rencontrés en chemin était super cool comme toujours et la soirée fut bien alcoolisée à souhait. Merci encore pour l’hébergement encore un fois Laeti. Vu comme c’est de pire en pire pour l'état d'ébriété avancé dans lequel nous nous retrouvons après les matchs je ne sais pas comment je vais finir quand nous serons champions du monde mais ça risque de pas être triste. Talal, demain le match on se voie et on se loupe pas comme ce week-end !! Voici trois photos qui en disent long sur notre état d'esprit et notre nationalisme plus que débordant à l'approche du match.
Voilà Laetitia (comme ca vous pourrez voir de qui je parle depuis quelque temps), toute de France vêtue... Je crois qu'il est difficile de faire mieux, mention spéciale pour le pantalon rouge qui va à merveille avec ce maillot taille dix ans.
Bon elle est floue parce que l'appareil a bougé mais je pense que l'on voit pas mal que je me suis investit de manière active dans le soutien des bleus.
Allez une petite dernière pour la route; les francais en Allemagne sont bien là.
Mon taf chez Sinalco est bien avancé à tel point que je n’ai jamais autant glandouillé depuis le début du stage et j’entre dans la phase de peaufinage du magazine. L’été est chez Sinalco, la période creuse du magazine. J’ai été chercher le nouveau stagiaire égyptien de la boîte vendredi, il est timide mais somme toute très sympa. D’autre part, dans la soirée, j’ai été avec Alex (l’ancienne stagiaire de Sinalco qui occupait ma place), à une «Uni-party».Cette soirée de l’université de Duisbourg ressemblait un peu à une soirée d’école, à deux-trois différences majeures près. Celle-ci s’est déroulée dans l’université elle-même et non dans une boite et, en plus du DJ classique, on pouvait trouver qu’elle avait un petit air de «nuit Dauphine», puisqu’il y avait des stands de jeux débiles, des bars à cocktails en plus de ceux qui ne vendaient que de la bière et, Allemagne oblige, les éternels stands de saucisses maxi-taille (35 cm à peu près, mais c'est la taille standard) au barbecue. Enfin, l'ambiance de folie était aussi, sans aucun doute, véritablement dûe à la victoire allemande en demi-finale. Au passage, j'ai encore été dans ce Biergarten près du stade municipal de Duisbourg pour voir le match avec mes collègues et vous allez constater que la fête battait son plein tout autant que sur les Champs-Elysées 24 heures plus tard.
L'explosion de joie allemande après le deuxième arrêt de Lehman qui devient à ce moment le héros national du jour.
Alex et moi-même. Hein!? Avec un maillot allemand??? Bon ba oui, comme ca fait dix ans que je l'ai celui-là je ne pouvais pas ne pas le mettre... Rassurez vous à l'approche des demi-finales je ne porte plus que notre cher maillot tricolore.
Le coucher a été très raisonnable (2h) et l’alcool prohibé pour ma part puisque j’étais en voiture. En revanche il a été force de constater que la prohibition était loin d’être en rigueur pour tout le monde puisque j’ai pu voir la débauche allemande à l’œuvre et ce qui m’a le plus «charmé» (si on peut dire ca comme ca), ce sont les nanas qui se mettent vraiment misère à la binch’ (je vous assure qu’en France elle y vont pépère à côté de se qui se passe ici, même toi Anne-So; d’ailleurs je me demande comment certaines d’entre elles sont aussi fines avec le nombre de litres de bière qu'elles avalent).
Dimanche a été une soirée de commatage total et je me suis terré telle une bête dans son antre chez moi. Films et dodo.
Dimanche a été une soirée de commatage total et je me suis terré telle une bête dans son antre chez moi. Films et dodo.
Voilà le résumé des derniers jours, je fais les niouses tout à l’heure en espérant (enfin !) les mettre en ligne aujourd’hui. On se quitte avec une dernière petite photo, un peu en retard mais vraiment poilante, voilà ce qui a tourné sur les boites mails de la boite après l’élimination des hollandais en quart de finale. Cela ne pouvait pas me faire plus plaisir, tiens. YA-HA !
No comment... Mais gavage, merci à cette équipe portugaise, et doublement car elle a aussi sorti les anglais, mmm que c'est bon ! C'est dommage que se soit nous qui devions les éliminer, mais ils auront toujours ma gratitude pour ces deux matchs
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